Mes photos

Coté photos, il y a d'abord mes voyages et mes voitures.

Mais je vous propose également :

ma collection de Bionicle,
des essais de feu d'artifice,
des promenades en Bretagne,
une soirée karting,
la cité médiévale de Provins,
le château de Chambord,
un passage à Belfort,
un déplacement professionnel en Belgique,
un déplacement professionnel en Provence,
un week-end au circuit Paul Ricard,
un week-end en Belgique pour le Grand Prix de Formule 1 de 2012,
une année de déplacement professionnel à Paris sous forme de Monopoly,
les Jeux Equestres Mondiaux FEI Alltech 2014 en Normandie,
une petite semaine de plongée sous-marine à Bormes-les-Mimosas (avec ma nouvelle GoPro),
un week-end à l'Aber Wrac'h pour un peu de plongée sous-marine,
le passage du Géant de Royal de Luxe au Havre,
une deuxième semaine de plongée sous-marine à Bormes-les-Mimosas,
un week-end de plongée à TODI, en Belgique,
un nouveau séjour de plongée à Maïtaï Bécon Plongée (et enfin des photos).

Tout a commencé en 2001, avec mon premier appareil, un Olympus Camedia 2100 Ultra Zoom :

numérique, capteur CCD 1/2 pouce de 2.1 Mpixels (1600x1200 en 4:3),
viseur numérique,
zoom optique x10 motorisé (7.0-70.0 mm, 2.8-3.5, équivalent à un 38-380 mm),
zoom numérique x2.7,
modes automatique, priorité vitesse (1/2s à 1/8000s), priorité ouverture (F2.0 à F8.0), manuel (16s à 1/8000s), macro,
cartes SmartMedia.

Olympus Camedia 2100 Ultra Zoom Olympus Camedia 2100 Ultra Zoom Olympus Camedia 2100 Ultra Zoom

Aujourd'hui, forcément, il est un peu dépassé mais à l'époque, il était sacrément performant.

En 2005, comme tout avait bien évolué, je suis passé à un modèle plus moderne, un Konica-Minolta DiMAGE A200 :

numérique, capteur CCD 2/3 pouce de 8.3 Mpixels (3264x2448 en 4:3),
viseur numérique 235000 pixels,
zoom optique x7 manuel (7.2-50.8 mm, 2.8-3.5, équivalent à un 28-200 mm),
stabilisateur optique,
zoom numérique x4,
modes automatique, priorité vitesse, priorité ouverture, manuel, macro,
obturateur 30s à 1/3200s,
écran orientable et escamotable 134000 pixels,
cartes CompactFlash.

Konica-Minolta DiMAGE A200 Konica-Minolta DiMAGE A200 Konica-Minolta DiMAGE A200

Globalement, il est beaucoup plus rapide et le zoom est manuel, ce qui signifie qu'il est plus rapide, plus précis et moins consommateur d'énergie...

En complément, pour faire des photos en grand-angle, j'ai aussi un réducteur de focale x0.5, Kenko KRW-05 (pour arriver à l'équivalent d'un 19 mm avec le Camedia et 14 mm avec le DiMAGE) :

Réducteur

Prendre les photos, c'est bien, mais ensuite, il faut les stocker. On peut bien entendu multiplier les cartes mémoire mais depuis le début, j'ai une arme efficace :

Image Tank Image Tank

disque dur de 30Go (5Go à l'origine mais j'ai fait une petite évolution),
lecteur de cartes intégré, fonction de recopie automatique,
fonctionnant sur batterie, sur 12V, 110V ou 220V,
connexion USB.

A l'époque, en 1999, ce genre d'appareil était plutôt rare. Aujourd'hui, son seul défaut, c'est qu'il est USB 1.0 et pas USB 2.0 ou 3.0. Pas grave, on n'est pas pressé.
En tous cas, avec ça, des photos, je peux en prendre sans compter... ou presque (plus de 7200 photos 8Mo en super-qualité, ça permet de partir quelques temps).
Et puis un problème, c'est qu'il ne lit pas les cartes SD.

Pour prendre des photos, le DiMAGE A200 fait encore l'affaire et, au quotidien, le smartphone permet d'avoir de bons souvenirs.
L'été 2016, je me suis équipé d'un petit jouet pour faire des vidéos et des photos sous-marines, une caméra GoPro HERO4 Silver :

capteur 12 Mpixels (4000x3000),
time lapse de 0.5s à 60s,
vidéo 4K jusqu'à 15 images/seconde,
vidéo full HD (1920x1080) jusqu'à 60 images/seconde,
cartes microSD,
écran tactile,
boitier étanche jusqu'à 40m.

GoPro HERO4 Silver GoPro HERO4 Silver GoPro HERO4 Silver

En février 2018, au retour de vacances, je réalise que mon DiMAGE A200, dont je disais encore du bien il y a deux ans, accuse un peu son âge. Les couleurs sont un peu fades et, surtout, il n'est pas vraiment rapide.
Alors en mars, j'ai cherché un nouvel appareil qui soit rapide, compact, avec un gros zoom manuel, un viseur numérique, etc.
Il semblerait que les "bridge" n'aient plus que des zooms motorisés (chose que j'ai abandonnée depuis mon Olympus, en 2005) et que les reflex soient un peu gros et lourds par rapport à mes besoins.
Dans un magasin havrais, on m'a écouté, on m'a conseillé, on m'a proposé la gamme des "hybrides" (objectifs interchangeables) et j'ai choisi un pack Panasonic Lumix DMC-G80H :

numérique, capteur CMOS 4/3 pouce de 16 Mpixels (4592x3064 en 3:2),
viseur numérique OLED 2 Mpixels,
stabilisateur optique et mécanique 5 axes,
modes automatique, priorité vitesse, priorité ouverture, manuel, scènes diverses, vidéo 4K/UHD, rafales 4K (focus stacking, etc.),
obturateur 2min à 1/4000s,
écran 3 pouces orientable et escamotable 1 Mpixels tactile,
cartes SDXC,
boitier tropicalisé.

Dans ce pack, le boitier est complété par un objectif Panasonic Lumix G VARIO H-FS14140 ASPH Power OIS :

14-140 mm (équiv. 28-280 mm),
1:3.5-5.6,
∅ 58 mm,
mise au point minimale 0.3 m,
stabilisateur optique.

Panasonic Lumix DMC-G80 Panasonic Lumix DMC-G80 Panasonic Lumix DMC-G80

Et puis pendant l'été 2019, je me suis rendu compte que, puisque ce boitier est à objectifs interchangeables, je pourrais compléter mon 14-140 par quelque chose de plus puissant. Du coup, j'ai opté pour un Panasonic Lumix G VARIO H-FSA100300 Power OIS :

100-300 mm (équiv. 200-600 mm),
1:4-5.6,
∅ 67 mm,
mise au point minimale 1.5 m,
stabilisateur optique,
objectif tropicalisé.

Panasonic Lumix H-FSA100300 Panasonic Lumix H-FSA100300